Magnifique!!! trop beau!!! très émouvant!! que ce superbe article sur l'affaire Sophie Scharbook!!!
Rappelez-vous !! il y a de cela 3 mois, DNA nous proposait un article nous relatant une histoire qui aurait pu être un simple fait divers! Même pas! une affaire de garde d'enfant non respectée: Un père français qui se bat contre sa belle famille algérienne, pour exercer son droit de garde sur sa fille: Sophie ou Sofia
DNA nous parlait à ce moment là, d'exclusivité! Ne vous méprenez pas, il a eu l'exclusivité de l'interview de M. Jacques SCHARBOOK! c'est très important. Il nous a donné les détails de cette affaire trépidante, qui passionne ...euh... On s'en fout!! c'est quand même une exclusivité!! Même si l'affaire était connue depuis un moment via les autres médias ...
Bref! Personne n'attendait de "Scharbook 2" puisque dans le premier épisode "Scharbook 1, le dénouement y était donné. Le père avait réussi à récupérer sa fille et la ramener avec lui, en France.
Eh non!!! chez DNA, on sait vous surprendre!!
Vous pensiez que c'était fini ? Eh bien Non!!! il y a une suite à cette histoire !!
Un véritable retournement de situation!!
Quoi?? Non, ce n'est pas la mère qui ressuscite et vient réclamer sa fille!!
Ce n'est pas non plus la grand mère qui revient la kidnapper!! car même dans les films, pas de visas d'accordés aux algériens!!
La petite qui pratiquait beaucoup (selon DNA) l'équitation, a pris son cheval et a décidé de repartir à la conquête de l'Algérie pour retrouver la vie d'antan...
Euh... désolée ce n'est pas ça non plus... j'en profite pour dire à DNA :( Dernières Niaiseries d'Alilat), qu'il peut garder cette idée pour le Scharbook 3, 4 ou 5. Je ne lui en tiendrais pas rigueur.)
Eh bien non!! A travers l'épisode Scharbook 2, nous apprenons que, selon des rumeurs , Jacques Scharbook a dit à DNA : "J’ai appris la nouvelle par le biais d’un ami qui a des connaissances au niveau de la police des frontières algériennes, indique Jacques Scharbook à DNA. Il m’a avertit que mon nom figure dans le fichier des personnes recherchées." Waouww!!! ça c'est de l'intrigue!!
Trop forts les DNAnistes!!! C'est quand même dingue comme ils sont très intelligents et tenaces!! Quand ils tiennent une histoire, ils en font plusieurs articles!! ça nourrit.
Ne pouvant se contenter de, juste nous donner cette info qui n'en est pas une, le journaliste a non seulement rappelé le lien vers le premier article ( pour ceux qui l'auraient raté!!) mais a carrément rempli ce second article en copiant une bonne partie du premier . ( Prenant tout simplement ses lecteurs pour des cons!!) . Voici le passage commun : "L’affaire Sophie remonte au printemps 2005. Après le décès de son épouse Farah Belhoucine en mars 2005, dans un accident de voiture, Jacques Scharbook confie sa fille, Sophie, à sa belle-famille. La grand-mère refuse de la lui restituer en remettant en cause la paternité du père. L’affaire arrive devant les tribunaux algériens. Après plusieurs jugements, la Cour Suprême algérienne statue le 13 février 2008 et ordonne que la garde de la petite Sophie revienne à Jacques Scharbook.
En dépit de ce jugement, ce dernier n’arrive toujours pas à récupérer son enfant. L’affaire prend une tournure politique lorsque le père sollicite les autorités françaises pour lui venir en aide. Le président Nicolas Sarkozy, le Premier ministre, François Fillon, l’ex-garde des Sceaux, Rachida Dati et l’ex-ministre de l’Intérieur, Michel-Alliot Marie, plaident la cause de Scharbook auprès des officiels algériens. Le 1er juillet 2009, Sophie embarque dans un avion pour rejoindre son père en France."
Vraiment trop marrants ces articles!! ça change des jeux "Cherchez les 7 différences" !!
Sur ce, mes chers amis, nourrissez-vous de tout, sauf de la connerie humaine...
Et si vous vous écrivez la suite? Je crois qu'elle serait plus interessante l'histoire!! Un régal.
RépondreSupprimerMerci
Karim B
L’homme à la machoucha de Sarkozy sous mandat d’arrêt
RépondreSupprimer15 octobre 2010
L’Algérie a enfin décerné un mandat d’arrêt à l’encontre de l’homme à la machoucha de Sarkozy, qui a clamé dans la presse n’avoir aucune intention de respecter le droit de visite de la petite Safia à sa grand-mère. Un traître à l’islam du tribunal d’Oran avait opéré une fausse erreur judiciaire annulant l’ordonnance du test ADN qui devait prouver le défaut de lien de parenté entre une petite fille musulmane et un français baptisé chrétien. Heureusement, le tribunal d’Oran compte aussi des juges dignes de leurs fonctions, qui ont ordonné le droit de visite de la petite fille à sa grand-mère, en vertu des lois algériennes et françaises.
Les gouvernements français et algérien ont avalisé la prise de Safia en otage, pour taire sa famille sur les révélations par la mère de la petite fille concernant la machoucha de l’ex-directeur de la filiale des automobiles Renault à Oran. La mère de Safia est décédée suite à des menaces de mort de cet homme, qui lui avait assuré que sa mort serait attribuée à un acte de terrorisme. Elle a été tuée le mois suivant, lors d’une course poursuite en voiture.
Depuis, l’ex-directeur de Renault, étonnement proche du corps diplomatique français en Algérie, a prétendu « chasser le corbeau » avec cette machoucha. Or, la machoucha est un fusil à canon scié, uniquement destiné à achever du gros gibier à bout portant. La machoucha est tristement célèbre pour avoir ensanglanté l’Algérie, par des actes que la presse a attribué aux fondamentalistes musulmans. Ce dit « terrorisme » a permis de faire élire Boutéflika à la présidence algérienne, au grand bonheur de la France, qui ne souhaite pas perdre le contrôle de ses intérêts en Algérie, s’ils étaient amenés à dépendre des puristes de l’islam.
Safia est issue d’un premier mariage de sa mère. Elle a été déclarée mensongèrement en France, comme étant la fille de l’homme à la machoucha de Sarkozy. Le président français, son Premier ministre, François Fillon, son ministre des affaires étrangères, Bernard Kouchner, l’ex-garde des Sceaux, Rachida Dati et l’ex-ministre de l’Intérieur, Michel-Alliot Marie plaident la prise d’otage de l’enfant auprès des officiels algériens, comme elles sont opérées dans l’Union Européenne, pour raison politique. Cette pratique intolérable vise à torturer et affoler les familles de ces enfants, en les mettant sciemment dans des situations de danger et les privant de contactes. Safia va avoir dix ans. La France refuse à sa grand-mère biologique d’entendre sa petite-fille au téléphone. La presse ne montre qu’une vieille photo, quand elle était toute petite.
« Dernière Nouvelle d’Algérie » est un journal subsidié par la France pour diffuser des informations falsifiées. L’avantage est d’y découvrir que l’homme à la machoucha de Sarkozy ne prétend pas respecter la décision du tribunal d’Oran, sous un prétexte mensonger que la justice française n’accorderait pas de droit de visite à des tiers parents. C’est faux : tous les enfants français ont le droit à des contacts réguliers avec leurs grands-parents. La pauvre petite fille est détenue par deux vieilles dames sans lien de parenté, la sœur sexagénaire et la mère octogénaire de l’homme à la machoucha de Sarkozy.
• Pour plus d’information consulter le site de la Fondation Princesses de Croÿ et Massimo Lancellotti suivant :
- http://www.droitfondamental.eu/
- Dossier Safia: http://safia.droitfondamental.eu/
De nouveaux éléments déterrent le dossier
RépondreSupprimerVendredi 24 Juillet 2009 — Une lettre ouverte rédigée par la défunte Farah Belhoucine et une affaire de possession d’armes viennent faire rebondir l’affaire Sophie, Safia ou Sophie Scharbook, 8 ans, que l’Algérie et la France pensaient close. Maître Fatima Benbraham, l’avocate de la famille Belhoucine assure détenir des pièces à conviction « importantes » qui, selon elle, en disent long sur « les dessous d’un mariage dont la garde de la fille n’est pas le seul drame… »
« L’affaire de Safia n’a pas encore connu son dénouement car j’ai des documents à dévoiler notamment sur la « livraison diplomatique » par l’Etat algérien à l’Etat français de la fillette Safia qui est sortie de son contexte juridique pour faire l’objet d’une affaire d’Etat », lance Me Benbraham. L’avocate a fait parvenir à notre rédaction une lettre ouverte adressée par l’ex-épouse de Jacques Scharbook, Farah Belhoucine au président de la République et au ministre de la Justice, qui a été publié, dans le quotidien Ouest Tribune le 23 janvier 2005, quelques semaines avant son décès, où elle révèle, entre autres : « …Puis vient le temps des menaces. Il a avancé que ma mort serait imputée à un acte terroriste et je ne serai même pas soupçonnée le jour J. J’ai pris ses menaces de mort au sérieux et j’ai averti ma mère de ce que projette mon mari. Et quoi qu’il m’arrive, il serait le seul responsable. » Elle ajoute dans sa lettre de 36 lignes que « son conjoint est en possession de deux fusils dont l’un est à canon scié (mahchoucha) qu’il semblerait n’ayant aucun document ou attestation de port d’arme délivré par les autorités compétentes ». Farah Scharbook, qui a rendu l’âme en mars 2005 dans un accident de voiture, aurait, selon les dires de M. Benbraham déposé une plainte contre son mari pour possession d’armes sans autorisation car il aurait menacé de s’en servir. « La gendarmerie lui a saisi les deux armes qui ont, par la suite, disparu de chez les gendarmes sans aucun bordereau de restitution à Scharbook », atteste l’avocate en se référant aux résultats de son enquête.
Contacté par El Watan Vendredi, Jacques Scharbook reconnaît détenir des armes chez lui à Arzew : « J’ai bien deux armes dans ma villa à Arzew, un calibre 12 et un autre dont je ne connais pas le nom, pour chasser les corbeaux. Ma femme les a pris à la gendarmerie car nous avions un problème concernant la villa de mon ex-épouse Evelyne. Farah voulait que je la mette en son nom mais comme c’est un bien de l’Etat, je n’ai pu le faire. » Au sujet de la saisie des armes en question, le sexagénaire précise que la police algérienne lui a délivré une autorisation de port d’arme dans les années 1990, en pleine période du terrorisme, car, étant français, il avait le droit de disposer d’armes pour sa propre sécurité et il a pu les récupérer après avoir présenté le duplicata de l’autorisation (car il aurait perdu l’original, selon ses déclarations) à la gendarmerie qui lui a restitué les deux fusils. De son côté, M. Benbraham prévoit d’organiser une conférence de presse dans les jours à venir afin de présenter le jugement de l’affaire des armes et la lettre ouverte de Farah Belhoucine à la presse et à la justice.
Dites à Safia…
RépondreSupprimerDites à Safia bonne anniversaire de la part de sa famille
Nous souhaitons que nos vœux les plus tendres volent vers toi SAFIA, pour te souhaiter un heureux anniversaire, nous espérons pouvoir te récupérer bientôt pour te sauver des mains de ce truand « scharbook », et prions le Tout-Puissant de te protéger et te rendre à ta vraie famille qui t’aime tant.
MOHAMED YOUCEFI, ton père qui veut que tu portes son nom, et non « scharbook », qui appartient à des voleurs d’enfant, soutenus par des politiciens français, qui sont intervenus pour t’obliger de vivre avec des vieux, sans liens de parenté avec toi, et sans même des enfants ou des cousins pour t’entourer.
SAFIA BENNEKROUF, ta grand-mère, dont ta mère a choisi que portes le prénom et pas ce ridicule prénom de sainte chrétienne, alors que nous sommes musulmans. Ta grand-mère qui t’aime tant et se bat sans relâche pour ta libération ;
MUSTAPHA (14 ans), SANAA (13 ans) NEDJOUA (10 ans), NIHAD alias NOUHA (8 ans), YOUSRA alias YOUYOU (05 ans), DODIKO et KHADRA, tes cousins et cousines, qui espèrent que tu puisses te consoler à l’école avec des gentils amis.
Ta tante IMANE, que tu appelles MAMA, pour avoir été comme ta mère, et tes tantes ACHWACK, GHANIA et FADELA, ainsi que tes oncles MOHAMED, BENABDELLAH et ABDELKRIM.
Et Maître FILLIALA BENBRAHAM, ton avocate, qui te ramènera chez toi, en Algérie, dans ta famille…
Je dis aux courageux Anonymes Sophie est en France et elle le restera.
RépondreSupprimerLe droit de visite, ils peuvent l'encadrer car jamais cette famille vera Sophie, il attendront que Sophie soit majeur dans 10 ans peut-être
Jacques SCHARBOOK